lundi 22 décembre 2008

54.

Un son de piano qui résonne dans la pièce, elle, couchée sur le dos, les mains relevées au-dessus de la tête, les cheveux placés négligemment sous elle, et lui, au-dessus d'elle, qui la regarde, et puis soudain, d'une gamme trop fort, il s'arrête, élève la voix et lance l'ordre de ne plus bouger.

"Reste comme ça. Ne bouge plus. Tu es trop belle comme tu es, avec la tête un peu tournée. Tu es vraiment belle."

Aucun commentaire: