Se demander pourquoi vivre. Et arriver à la réponse: pour ne pas mourir. Penser au sens de notre vie et ne rien trouver. Comprendre que vivre ou mourir, ça ne changera, au final, absolument rien. Et soudain, tous les sons entourant se taisent et un silence s'installe. Un silence lourd, qui gobe tous bruits, toutes pensées. Le silence d'une Existence gênée de sa propre superficialité. Un silence de gêne.
Prost à l'Existence.
jeudi 9 octobre 2008
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