lundi 24 mars 2008

8.

Voir avec quel enthousiasme ils dévorent le corps. De vrais vautours.

Rire de l'ébat de cette vulgarité. S'offrir, toute, dans une dévotion explicite, un abandon désolant.

Mourir sous le poids des hommes qui s'effondrent après l'orgasme.

Devenir dépendant des autres tant le corps souffre de l'amnésie provoquée par le manque de caresses.

Soupirer puis ne rêver que de superficialité que pour ne pas être blesser de toute cette brutalité.

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