Moi, étrangement, dès que je sens que j'appartiens, je fuis. Mais ça, c'est aussi une façon de ne pas m'assumer, de peur de me mettre la laisse au cou et de m'étouffer ultérieurement.
Des textes rapides, sans vraiment de relectures. Un besoin urgent d'écrire, comme un empressement d'enfant. Un mélange de fiction et de réalité. Des fantaisies. Des rêves. De la poésie, surtout. Rien d'impressionnant, je crois, mais quand même, bonne lecture.
2 commentaires:
Moi, étrangement, dès que je sens que j'appartiens, je fuis.
Mais ça, c'est aussi une façon de ne pas m'assumer, de peur de me mettre la laisse au cou et de m'étouffer ultérieurement.
Moi aussi, j'étais comme toi, mais après, je me rends compte qu'en lui appartenant, le danger de l'éloignement serait moins grand.
Enregistrer un commentaire