vendredi 24 octobre 2008

32.

Recevoir des nouvelles de cet homme alors que tout est définitivement terminé. Trouver cela étrange. Croire peut-être alors à sa sincérité. Savourer chacun de ses mots de sa courte lettre. Les bénirent, presque, tant une certaine joie, douce-amère, envahit et réchauffe le coeur. Et tomber sur les derniers mots de la lettre et avoir envie de pleurer, presque, tant l'espoir de vouloir croire à sa sincérité est fort et pourrait se concrétiser.

"Gonna remember your kisses."

Mais plus tard, y repenser, et comprendre que tout cela n'était qu'un délire, qu'une histoire d'adolescents d'un roman sur un amour d'été -un amour avec un petit a- avec toute son improbabilité et son charme.

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